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jeudi 2 juin 2016

la pensée du mois

La « non qualité » révélée en permanence par les médias, mais aussi vécue par les clients, les incitent à différer leurs actes d’achats de peur d’être victimes de dysfonctionnements. Cette situation est encore plus présente chez les personnes âgées.

Est-ce-que c’est du à une surmédiatisation de la non qualité, à une croissance des exigences des clients, ou bien tout simplement à une dégradation de la qualité des produits et des services ?

Les faits semblent donner raison à la troisième hypothèse.

Quand pensez-vous ?

On ne pourra jamais réaliser une enquête générale sur cette évolution, ni sur ses causes.

Mais le ressenti suffit à produire des effets sur la consommation.

De la consommation plaisir, on passe à la consommation contrainte. Ce n’est pas cette situation qui va relancer l’économie.

N’hésitez pas à commenter



La qualité optimale devient : « la Qualité Socio Compétitive »


Nous avons introduit, il y a quelques semaines, le concept de « qualité optimale » pour caractériser  une nouvelle manière d’utiliser la qualité dans les entreprises.

 Elle consiste à exploiter un nouveau gisement de progrès par l’association : de la production d’une qualité compétitive dans les échanges économiques, où l’entreprise est soumise à une forte pression concurrentielle, avec la production de la qualité perçue  de la répartition des efforts et des gains, dans d’autres échanges, lorsqu'elle est un atout indispensable pour produire la qualité de compétitivité.

L’usage antérieur de la terminologie « qualité optimale » pour décrire d’autres concepts, amène les auteurs à utiliser dorénavant les termes : «  Qualité Socio Compétitive ». (En anglais : Socio Competitive Quality) (SCQ)

Le qualificatif « socio-compétitif » représente d’ailleurs mieux les finalités de ces nouvelles démarches proposées aux entreprises pour accroître leurs performances.


Pour  nous aligner sur ces décisions nous avons repris tous nos articles précédents qui portent sur cette thématique, pour introduire ce nouveau vocabulaire.

lundi 23 mai 2016

Les fondements de la Qualité Socio Compétitive

La compétitivité d’une entreprise est devenue une condition nécessaire de survie.

Le management de la qualité doit donc tout mettre en œuvre pour utiliser et produire une qualité des produits ou services de l’entreprise qui contribue, de la manière la plus efficiente possible, à sa compétitivité. (Qualité compétitive)

Mais cette usage et production de la qualité ne doit pas se faire sans assurer une répartition équitable entre les efforts et les gains des parties prenantes de l’entreprise.

Cette recherche d’équité peut devenir un facteur essentiel de la production et de l’usage de la qualité compétitive.

Le management de l’association de ce vecteur de compétitivité, avec le respect des répartitions des efforts et des gains, est nommé : Qualité socio Compétitive

La « Qualité Socio Compétitive » d’un projet de percée d’un marché, est l’association de la « qualité compétitive » du produit ou service destiné à percer le marché et de «  l’équiqualité » de la répartition des efforts et des gains entre les propriétaires du projet et ses autres parties prenantes.

La Qualité socio Compétitive est composée par :
·         des espérances de satisfaction des propriétaires et du marché, provoquées par l’objectif du projet, et  qui justifient les efforts demandés pour en bénéficier, à partir de quatre critères :
o   le niveau de confiance du marché dans  la capacité de la prestation à répondre à des besoins qui ne peuvent pas être couverts par la concurrence ;
o   la valeur du supplément de bénéfice de l’usage de la prestation par rapport à ceux produits par l’usage de prestations concurrentes ;
o   la conformité aux exigences sociétales et aux exigences et conventions du marché ;
o   le niveau de contamination par le  marché.
·         la confiance dans la capacité du système de production du projet à se conformer à l’objectif ;
·         la conformité du résultat du projet par rapport à son objectif ;
·         le niveau de satisfaction des espoirs initiaux par la perception des effets produits au cours de l’usage de la prestation.
·         des jugements qualité des propriétaires et autres parties prenantes du projet portant sur la répartition des efforts et des gains entre toutes  les parties concernées qui comportent :
o   un jugement a priori :
§  de la satisfaction de la répartition programmée;
§  de son niveau de confiance dans la capacité du système de répartition de l’action à réaliser cette répartition ;
o   un jugement évolutif au cours de la production et de l’usage de l’action :
§  des chances de maintien de la satisfaction initiale de la répartition programmée ;
§  du niveau de confiance qui peut encore être accordé à la capacité du système de de répartition à réaliser la répartition programmée ;
o   un jugement final synthétique à l’issue de l’usage de l’action
§  de la satisfaction réelle de la répartition ;
§  de la capacité du système de répartition  à reproduire une situation analogue, ou plus satisfaisante ;

Cette nouvelle approche du management de la qualité doit faire converger les enjeux économiques et sociaux de l’entreprise, et créer une dynamique de progrès basée sur de véritables coalitions d’intérêts.


Des développements méthodologiques seront prochainement publiés.