Les dix principes de bon sens pour utiliser la qualité dans
les démarches d’innovation avec le plus de simplicité et de rentabilité :
1/ Bien identifier tous les acteurs qui vont jouer un rôle
dans la réussite du projet
2/ Caractériser les exigences qui conditionnent leur
collaboration au projet
3/ Imaginer quelles attentes supplémentaires pourraient être
satisfaites pour qu’ils soient séduits par le projet au point d’accepter les
risques d’échecs inévitables du projet qui les empêcheraient de sauver leur
mise
4/ Localiser dans les activités du projet les sources de
prestations du projet qui s’adressent à ces acteurs pour qu’ils portent des
jugements sur la qualité du projet qui les confortent dans leurs engagements
5/ Définir les spécifications de ces prestations qui
permettent d’assurer ces jugements qualité
6/ vérifier que ces spécifications sont capables de produire
les effets escomptés
7/ Contrôler la production de ces spécifications pour rendre
acceptables les risques de non conformités
8/ Compenser les non conformités perçues par ces acteurs qui
sont passées à travers les mailles du filet
9/ Vérifier le plus souvent possible que les modes d’utilisation
de la qualité dans les relations avec ces acteurs sont les bons
10/ Corriger rapidement lorsque ces modes d’actions ne
semblent pas les plus pertinents
Ces principes doivent
s’appliquer naturellement sans avoir recours à d’autres méthodologies que
celles qui sont utilisées dans le projet. Seul le bon sens doit guider les
actions des membres de l’équipe projet qui appliquent ces principes.
Le chef de projet doit
veiller à ce qu’ils soient systématiquement appliquer.
Ces principes
conditionnent le succès des démarches d’innovation. Ils peuvent s’appliquer
partout et en particulier dans les incubateurs.